Une centaine de nouveaux marchés verraient le jour chaque année dans l’Hexagone.
8 000 villes se partagent aujourd’hui des marchés hebdomadaires ou bihebdomadaires.
Le secteur alimentaire a le vent en poupe avec une progression de 2 % par an.


La filière française de canard a été durement touchée par la grippe aviaire. De nombreux élevages ont dû abattre la totalité des troupeaux. Depuis 2018, la production a retrouvé son rythme de croisière. Et la consommation repart.


Ils sont originaires d’Asie, d’Inde ou des Amériques, mais aussi d’Europe. Les « superfruits » sont qualifiés de superaliments à cause de leur richesse en vitamines et en antioxydants et de leur profil nutritionnel supérieur à la moyenne des autres fruits.


Concurrencée par les fraises d’Espagne, de Belgique ou des Pays-Bas, la fraise française affiche pourtant une croissance en volume comprise entre 3 et 4 % en 2018 pour la seule AOPn (Association d’organisations de producteurs nationale) Fraises de France.


Retour aux sources. En un demi-siècle, les Français ont vu leurs habitudes alimentaires profondément évoluer. De nouveaux produits ont été popularisés quand d’autres ont disparu de nos assiettes. L’industrialisation de l’agroalimentaire, l’avènement de la restauration rapide, la recherche de qualité et les considérations sanitaires ont aussi révolutionné le contenu de nos repas.


La production de légumes à l’échelle industrielle en France avait engendré une uniformisation de l’offre. N’étaient conservées que les variétés de légumes résistantes et esthétiques, parfaitement adaptées aux étals de la grande distribution. Grâce à la restauration traditionnelle, la vapeur s’est largement inversée.

